Courrier Cauchois du 15 février 2003

cc15-2-03.jpgDimanche après-midi, les comédiennes de la troupe de Barentin la Compagnie du jeu d’orgue, constituée à partir de l’atelier théâtre, ont offert à un public assez nombreux leur tout nouveau spectacle intitulé « 14 février Saint-Valentin » de S.-J. Albert. Cette pièce a la particularité d’être interprétée par sept femmes. C’est Hélène Cabot, une ancienne du théâtre Maxime-Gorki, qui a assuré la mise en scène, mais aussi les décors, très dépouillés, et les costumes.

Cette pièce, écrite par un Américain et adaptée par Marie-France Santon, est le reflet de notre vie au quotidien avec les gens qui, de plus en plus, deviennent égoïstes.

Le personnel d’une agence de placement de secrétaires s’occupe en effet plus de ses petits bobos, que de « la santé » peu brillante de son entreprise. Et en ce 14 février, on parle de dépôt de bilan pour l’entreprise, sans que cela semble changer quelque chose. La dirigeante de cette société. Edith cependant s’accroche, mais elle se heurte à l’indifférence et au laxisme…

Véronique Abadie, Agnès Christophe, Anne Cuffel, Martine Davy, Simone Duparc, Christine Jules et Pascale Mardoc ont donné le meilleur d’elles-mêmes pour cette pièce proposée par Caux-Productions.